Éthique des médias, de la publicité et du témoignage

· Il incombe au psychologue d'éviter de devenir un outil dans les mains d'autrui pour justifier le coupable, ou pour condamner l'innocent, ou pour imposer une tutelle sur le sain, ou pour l'admission dans des institutions psychiatriques, lorsqu'on lui demande son avis à cet égard, que ce soit de la part de l'autorité ou du judiciaire.

· Le psychologue porte la responsabilité professionnelle et éthique concernant les programmes publicitaires ou publicitaires réalisés par d'autres en son nom ou avec son aide.

· Le psychologue résiste à ce qui est publié ou diffusé d'informations ou d'idées psychologiques inexactes, et il doit à cet égard consulter ses collègues et coopérer avec eux pour renforcer cette résistance et essayer de corriger ces erreurs.

· Le psychologue s'éloigne de tout ce qui peut susciter des doutes concernant les moyens de publicité et de médias en ce qui concerne sa personnalité ou ses pratiques.

· Toute publicité payante concernant une activité du psychologue doit préciser qu'il s'agit d'une publicité payante, à moins que cela ne soit évident dans le contexte.

· Le psychologue ne participe à des discussions ou à des débats publics que dans les limites de sa spécialité, de ses recherches et de ses intérêts.