VII- La communication dans les groupes restreint


Le bute d’étudier les divers modèles de communication est de préciser les conditions nécessaires à la coopération la plus efficace au cours de l’accomplissement d’une tâche.

Ont trouvent des situations analogues dans : les jeux de type divers, les transmissions militaires, les communications commerciales entre tel ou tel services d’une même entreprise, ou d’une même administration.

Bavelas (1948) suppose que la structure de réseau de communication affectait la performance d’un groupe de cinq personnes. Il a remarqué que certains individus occupaient des positions centrales leur donne un avantage dans la communication avec les autres, ces individus jouaient plus facilement le rôle du leader au cours de la réalisation d’un problème par le groupe, et que certains réseaux était plus efficace que d’autres en raison d’utilisation éventuelle de modes opératoires différents.

    Leavitt (1951) a repris ce dispositif expérimental avec quatre types de réseaux pour évaluer le degré de satisfaction du groupe suivant la forme du réseau qui constitue. IL a constaté que les personnes en position de centralité ont le maximum d’influence sur le fonctionnement du groupe et aiment mieux leur travail et ils sont les mieux satisfaire. Quoi que moins efficace, soit celui qui communique suivant le réseau circulaire car tous les membres aient en effet une occasion égale de participer au fonctionnement du groupe.

Shaw et Gilchrist (1956) ont donné aux sujets périphériques plus d’information qu’au sujet centrale (réseau rayon) et ils ont constaté que :

 Au niveau des individus : chez les périphériques la rapidité de résolution et le morale son plus élevés, chez le sujet centrale on observe un certain seuil de saturation lié au nombre croissent des messages, sa rapidité et son morale tende diminuer.

Au niveau du groupe : si le problème est complexe et les informations son inégalement réparties entre les membres, la performance et le morale du groupe sont supérieurs dans le réseau tout circuits a ce que sont dans les autres réseaux.

Autres variables :

La créativité : dans les réseaux centralisés il est plus facile de contrôler la rentabilité et l’efficacité de ces membres. En revanche il-y-on a moins d’usage des idées des autres, par conséquence moins de créativité.

La déviance : les personnes les plus centraux dans un réseau sont souvent les moins déviants, et celui qui occupe une position centrale dans un réseau semble jouer un rôle sur la prise de position.

Nous conclurons en disant que ; dans les réseaux centralisés les performances des groupes sont plus élevées, mais il y-a moins de satisfaction chez les sujets périphériques en raison d’une grande compétition entres les membres, et un manque d’égalité dans la distribution des charges et de responsabilité du travail. En revanche, dans les réseaux décentralisés les performances sont moins élevées, mais la satisfaction est plus haute chez tout les membres en raison de la répartition équitable des tâches et de la charge du travail entre les membres du groupe ainsi l’existence d’une coopération mutuelle et une responsabilité partagée.

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