Le sujet de l'éthique professionnelle est un sujet commun dans le monde, et il est important et fondamental dans la vie des individus. Depuis l'Antiquité, il constitue la base de la vie des individus. Il n'est pas lié aux aspects techniques du travail. , mais plutôt à sa base morale.

Elle s'adresse également non seulement à l'esprit, mais aussi à la conscience et à la conscience. C'est un dialogue avec soi-même avant un dialogue avec les autres, car depuis l'Antiquité, le sujet de l'éthique professionnelle suscite un intérêt en raison de son lien avec tous les aspects de la vie. vie, qu'elle soit sociale, politique ou économique. De plus, ces éthiques sont étroitement liées à la foi islamique.

Les piliers d’une bonne moralité sont : la patience, la chasteté, le courage, la générosité, la justice, la modestie et la tolérance.

   L'éthique fait généralement référence aux valeurs et normes morales sur lesquelles les membres de la société s'appuient pour faire la distinction entre ce qui est bien et ce qui ne l'est pas. Il sert de guide principal du comportement humain, car il se traduit par un ensemble de valeurs et de principes qui assurent l'organisation et la stabilité de la société.

« Et dans l’émergence d’une bourgeoisie productive qui voit le bien du travail dans l’austérité et l’ascétisme, et considère l’éthique du travail comme une obligation religieuse, l’épargne et la réalisation de l’accumulation financière comme une valeur morale humaine. 

« Il s'agit d'un ensemble de valeurs légitimes que possède la personne responsable et qui ont un impact évident sur son comportement ». (Al-Mazjaji, 1415 AH, p. 215)

  « Le caractère est connu sous le nom de chevalerie, et on dit qu'un tel est digne de tel ou tel, c'est-à-dire digne de cela, et on dit à celui qui est habitué à quelque chose, cela est devenu son caractère, c'est-à-dire qu'il est flexible avec cela, et parmi cela se trouve un bon caractère » (Ibn Manzur, 1410 AH, p. 91, vol. 10)

Distinguer éthique et morale relève d’un débat conceptuel propre à la philosophie morale et qui ne saurait être tranché d’un point de vue objectif, comme s’il existait une « essence  de chacun de ces termes ». En revanche, on peut sans doute rapprocher la récurrence de ce débat de l’émergence relativement récente d’un « champ éthique » dont un des enjeux de constitution tient justement à la définition de l’éthique. La déontologie peut s’appréhender en « prenant le droit au sérieux » et en soulignant en quoi les processus de codification déontologiques produisent de l’identité professionnelle et concourent à sa stabilisation. En ce sens, le rapport à la morale qu’on trouve dans les déontologies est une forme ordinaire d’économie morale, l’ensemble des valeurs professionnelles étant justifié comme la condition de possibilité de la profession elle-même. En contrepoint, l’« éthique » qu’on retrouve par exemple du côté de la psychologie, n’est pas liée de manière centrale à une profession et à la définition de ses frontières. De fait, le rapport à la morale qu’on retrouve dans le « champ éthique » est un rapport plus classique de production morale, c’est-à-dire d’évaluation et de prescription, relatif à certaines pratiques dans des contextes incertains et peu stabilisés.

En résumé, l'éthique et déontologie professionnelle est un ensemble de principes moraux et de valeurs qui régissent le comportement des individus dans l'environnement de travail et lors de l'exercice de leurs tâches professionnelles. L'éthique du travail est considérée comme une référence de base pour le comportement éthique et ce qui est acceptable ou inacceptable. faire dans le domaine du travail, et vise à guider positivement le comportement des individus pour prendre des décisions.

Mots clés : déontologie, éthique, moralité, psychologie, profession.