Le facteur commun entre les pratiques professionnelles contraires à l’éthique est le manque d’intégrité.

L’intégrité implique l’honnêteté, la transparence, le respect des normes et la responsabilité. Lorsqu’elle fait défaut, les professionnels peuvent être tentés de mettre leurs intérêts personnels au-dessus de ceux de leurs clients, collègues, ou de la société. Cela peut se manifester par :

1. La corruption (pots-de-vin, favoritisme) : motivée par un gain personnel immédiat, sans considération des conséquences.

2. La falsification de documents ou d’informations : souvent pour obtenir un avantage ou masquer une faute.

3. Le non-respect de la confidentialité : révélant des informations sensibles pour nuire ou en tirer profit.

4. La discrimination et le harcèlement : manquent de respect et d’équité, souvent tolérés par absence de valeurs morales fortes.

5. L’exploitation ou la négligence : comme dans les soins de santé ou l’enseignement, où l’intérêt du bénéficiaire devrait primer.

En résumé, toutes ces pratiques découlent d’un affaiblissement des principes moraux fondamentaux. Le respect de l’éthique professionnelle repose donc sur l’adoption de valeurs solides et une culture organisationnelle qui valorise l’intégrité à tous les niveaux.